Les acquis de l’ostéopathe

Une vaste boîte à outils

En plus de différents savoir théoriques (comme la physio-anatomie, la posturologie,…) lui permettant de comprendre le schéma de fonctionnement global du patient, votre ostéopathe D.O. FERO possède de très nombreuses techniques pour s’adapter à chaque patient (en fonction de son âge, de l’état de ses tissus, de sa morphologie, de son ressenti douloureux, de ses appréhensions,…) mais aussi répondre le plus efficacement possible aux différents types de douleurs.


Le fameux « craquement » des articulations est souvent redouté, mais bien effectué il ne présente aucun risque !

Nicolas Blaise vous avertit avant toute manipulation structurelle, et elles ne vous seront jamais imposées contre votre volonté.


Des technicités rangées en grandes familles

  • Les techniques dites structurelles:

Les manipulation en Haute Vélocité Basse Amplitude (aussi appelées « thrusts »), génèrent le plus souvent le fameux « craquement » des articulations. Parfois redoutées, elles sont cependant sans risque quand elles sont bien effectuées (en « paramètres mineurs » respectant les amplitudes physiologiques des articulations) et sont imposées à des tissus sains. Tout comme les Techniques Ostéopathiques Générales (techniques articulatoires rythmiques), ces techniques visent à restaurer la mobilité des articulations du système musculo-squelettique.

  • Les techniques musculaires:

En « énergie musculaire», en « points gâchettes », ou en massages profonds, elles ont pour but de relâcher les contractures fonctionnelles et autres cordons myalgiques.

  • Les techniques viscérales:

« Viscérales mécaniques » ou « viscérales tissulaires », elles sont utilisées en réponse à des troubles fonctionnels d’organes ou de viscères.

  • Les techniques tissulaires, dites « douces »:

Fasciales et crânio-sacrées, elles visent, à l’aide d’une habileté palpatoire très fine, à restaurer la mobilité fine (et la motilité) des différents tissus.

 

« Avant de réajuster n’importe quel os du corps, quel qu’il soit, ou quelle que soit la distance à laquelle il a été forcé de son logement, vous devez d’abord relâcher ses attaches, comme à son extrémité articulaire par exemple, en gardant toujours à l’esprit que lorsqu’un os ne s’articule plus normalement, les muscles et les ligaments qui l’entourent sont irrités, et maintiennent une contracture permanente. »   Andrew Taylor Still